Quelques chiffres autour de nos albums
Nouvelle année, futurs projets et défense des albums déjà sortis. C’est l’occasion de faire un petit inventaire et un bilan.
La crise sanitaire est passée par là, les contraintes liées au pouvoir d’achat aussi et, forcément, l’achat d’albums s’en ressent. Les hausses successives (impression et frais de port principalement) se sont aussi invitées dans les trésoreries des maisons d’édition. Alors, bon ou mauvais bilan ?
La série Vivre en Macronie d’Allan Barte, première sortie d’Ant Editions, en est à son quatrième tome, le cinquième est en préparation.
Depuis son lancement, la série s’est vendue, pour le tome 1, à 5 270 exemplaires, 4 596 pour le tome 2, 3 847 pour le tome 3 et 2 563 pour le tome 4. Chaque tome relance les précédents et, par conséquent, les plus anciens s’en sortent forcément mieux.
Les Jours de pluie d’Anne Montel et Loïc Clément ont été vendus à 942 exemplaires, une réédition qui manque pour l’instant d’une certaine visibilité. Nous continuons à y travailler dessus. Le tirage collector, limité à 250 exemplaires, est bientôt épuisé (205 ventes). Ce tirage est proposé ponctuellement pour satisfaire aussi bien les soutiens historiques fidèles et les éventuel(le)s retardataires.
Prochain projet, Une Histoire Mortelle, d’Anton, Nicolas Otéro et 1ver2ânes est actuellement en préventes sur Ulule : affaire à suivre !
Au total, Ant Editions, depuis son lancement, a vendu plus de 15 000 albums, l’équivalent d’une petite ville. Continuons sur cette lancée pour assurer un bel avenir à notre maison d’éditions et à nos projets !
Vous trouvez ça normal de gagner de l’argent en se moquant de notre président qui non seulement à sauvé l’économie française, l’éducation nationale, le système de santé, mais qui est en train de sauver le monde d’un conflit sanglant ?
Honte à vous et à votre travail de fourmi pour saper le moral de la Startoupe Naÿchonne !
C’est le ruissellement. La preuve que ça marche.
Le Lider Minimo ne fait que dire ça ! Vous admettez donc qu’il a raison dans son immense sagesse. Dans nos réunions nous avons donné un petit surnom affectueux : Le Danube de la pensée complexe.